07-ghost, la quête de l'équilibre
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 In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée]

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Renovatio
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Renovatio


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Date d'inscription : 31/10/2012

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MessageSujet: In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée]   In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée] Icon_minitimeMer 31 Oct - 21:03

Ce personnage est destiné a mourir en RP.


Sa sainteté Slender Kinder III
« The Planet Earth turns slowly »


NomKlender, mais est généralement nommé Kinder III, pour son office en tant que Pape. Prénom(s) Slender Surnom(s)Trouvez lui en? ÂgeVingt deux ans au compteur. GroupeEuh... Je sais pas? Rang/Métier •  Pape AvatarYue, Akaya Akashiya Ayakashino

ZaiphonJ'en ai pas. Arme(s)écrire ici SituationMarié à Dieu Orientation sexuelleDévoué à Dieu, ça répond a votre question? Créditécrire ici, de la bannière/gif, des icons  
..J'ÉTAIS.. JE SUIS..
..ET JE SERAI.
.

"Le noir est l'absence de couleur. Par conséquent, tu es le Noir personnifié."

Depuis que tu es tout petit on t’a façonné, encore et toujours, à la manière d’une machine de guerre insensible aux émotions. Évidemment, ce fut un échec. Lucrezia était toujours là pour te faire revenir à toi. Qui est-elle, d’ailleurs ? Simple. Lucrezia, c’était tout simplement ta grande sœur, la première enfant née de l’Union de la dernière des Borgia à un homme de pouvoir dont le nom était Klender. Mariage arrangé, forcément. Et tous voulaient un garçon en premier, histoire de rendre la tâche moins pénible pour les deux parents. Mais non, c’est elle et sa jolie chevelure blonde qui s’est pointée avant toi alors, forcément, on n’a pas cherché à l’enfermer dans une cage dorée, comme on a fait avec toi. C’est sans doute, pour ça, que l’on s’est débarrassé d’elle aussi vite, une fois que tu eus atteint l’âge de comprendre ce qui se passait autour de toi.

On t’a vendu. Tu le sais, en plus. Mais tu as très longtemps refusé de l’admettre. Parce que tu pensais que tu représentais plus qu’un simple bétail pour ceux qui t’avaient mis au monde. Mais non. Au final, c’est plus l’Église qui t’as élevé et qui a fait de toi ce que tu es aujourd’hui, Slender. Après, est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Qui peut le dire ? Tout dépend du point de vue, au final.

À force de te marteler le crâne d’idées préconçues, tu as fini par adhérer à tout ce que l’on te disait. Que Dieu est le salvateur de tous, que tu es son messager, qu’il te faut prier sans relâche pour les âmes égarées. Et qu’enfin, s’il te faut sacrifier ta vie pour l’église toute entière, tu sais d’avance que tu n’hésiteras pas. Car tu n’es qu’un pion. Tout ceci n’a pas d’importance à tes yeux. Ça n’en a plus, même. On a scellé entre tes mains le pouvoir de dresser une barrière entre la sainteté et le danger extérieur.

Bien sûr que tu acceptes n’importe qui entre les murs de ton repaire, mais si quiconque ose l’attaquer, après toutes tes souffrances, tu feras en sorte de faire avorter ce genre de plan. Hors de question que tout le sang qui à coulé de tes avant-bras par les saignées ait déserté ton corps en vain. Tu ne le tolérerais pas. Non.

Malgré tout, tu es entouré d’un voile de mystère. Personne n’arrive vraiment à saisir ce que tu es réellement, Slender. Même toi, tu ne sais plus vraiment. Tu ne connais de ta personne que ce que l’on en raconte. Qui peut dissocier alors le vrai du faux, le bien du mal ? Tu l’ignore. Tu ne fais qu’accomplir ton rôle avec une application sans borne. Tu ne bronches plus depuis le temps que tu es assis sur ce Trône Papal, tu as compris que ce genre de jérémiades est inutiles et ne te mènera nulle part.

Pourtant, loin d’être aussi froid que ton apparence le laisse présager, tu es capable d’aligner plusieurs mots dans l’optique de converser. Tu aimes bien ça d’ailleurs, parler. Ça te change de ta seule compagnie séculaire : Le « Majestueux » Silence de Dieu. Lui, il te tient compagnie à tout moment de la journée. Du levée au coucher, et même quand tu t’endors, il est là, imperturbable. Tu en a beaucoup souffert au début, de cette solitude, par vrai Slender ? Mais finalement, tu es humain et tu as fini par t’en accommoder.

Ce n’est pas comme si tu avais eu le choix, en plus de ça.

On t’a inculqué la pureté du corps et de l’esprit, le contrôle des envies et la dissolution des pêchés. Tu ne dois pas te laisser tenter par quoi que ce soit, Klender. Toi plu qu’un autre doit respecter ces termes de chasteté. Tu n’as pas le droit à l’erreur, jamais. Tu es le pape, le plus proche frère du Seigneur tout puissant. Que deviendrais-tu si ton corps était souillé ? Inutile. Et ça c’est ta phobie. Tu as peur que l’on te rejette, que l’on se débarrasse de toi. Après ton passif, tu ne pourrais supporter n’être qu’une poupée de chair sans intérêt.

Même si au fond, c’est bel et bien ce que tu es. Tu en souffre un peu en y pensant, mais c’est pas grave.

Justement, tu fais ce que tu peux pour ne pas y songer. C’est pour ça que tu as une trop grande curiosité aussi, et qu’elle s’exalte bien souvent au mauvais moment. Surtout lorsqu’elle s’allie à ta discrétion légendaire.

Tu es silencieux dans ta démarche, dans tes déplacements. Tu l’as toujours été, car tu ne veux pas non plus que l’on te remarque. Ça signifierait alors que tu deviendrais le centre d’attention de la population et tu ne te sens pas capable de soutenir tous leurs vœux sur tes épaules. Tu n'es qu’un enfant après tout. Un grand enfant de vingt-deux ans que l’on a privé de sa vie depuis sa naissance. Tu ne sais pas vivre ; tu imites.

C’est pour ça que tu observes avec curiosité et silence ce qui peut t’entourer parfois, pour te changer les idées. Suivre quelqu’un dans les couloirs sombres du bâtiment sans qu’il ne s’en rende compte ? Pas de problème, tu es parfaitement capable de le faire. C’est ainsi que tu occupes tes nuits d’insomnie. Chacun son remède après tout. Certain fume, toi tu stalke. Mais jamais méchamment, bien sûr. Il arrive que tu ne flanque de frousse a personne d’ailleurs.

Et puis lorsque tu t’arrêtes dans le jardin alors que tu sais que ce n’est pas bon pour toi, on croirait presque voir un ange.
Après tout, n’est-ce pas ce que tu es aussi, en plus de tout le reste, un ange martyr tel Zarathos ?

Tu ne perds jamais une occasion de laisser les gens se confier à toi, que ce soit dans le confessionnal ou directement. Tu es une tombe, jamais tu ne révéleras les secrets d’autrui. C’est pour cela que c’est souvent vers toi que l’on se tourne pour demander conseil et rédemption.

On t’a toujours inculqué de veiller au bien d’autrui. Même si autrui doit te détruire un jour...


..IL ETAIT UNE FOIS..
..IL Y A BIEN LONGTEMPS.
.

On a toujours tout décidé à ta place. Aussi loin que tu t'en souviennes, on ne t'a jamais laissé le choix. C'est ça d'être issu de la dernière lignée de la famille des Borgia. Ou : comment briser un enfant et lui refuser sa vie?

Tu aurais presque pu avoir une vie parfaite. On t’attendait comme l’enfant prodigue voué à un avenir rutilant qui s’annonçait tout soumis à ta petite personne avant même que tu ne t’extraies des chairs de ta « tendre » mère. Elle n’avait de tendresse que l’amour pour les profits qu’elle s’attendait à obtenir en retour de ta venue au monde. Celle qui t’a porté était la dernière des Borgia, famille tristement célèbre dans l’histoire de la papauté pour ses corruptions et ses traites des biens catholiques. Pourtant, rien n’eut su déloger le premier membre de leur unité ayant réussi à montrer sur le trône Papal, Alexandre VI. Il régnat en maître incontesté jusqu’à ce que la mort vienne le cueillir.

Et c’est son sang qui coule encore aujourd’hui dans tes veines, Slender.

Inutile de tergiverser sur la rencontre et l’amour qui existaiet entre tes deux parents, tout ceci n’était que fictif. C’était un mariage arrangé, du début à la fin. Le seul plaisir qui se tenait entre eux était celui de la manipulation, et rien d’autres. Leurs rapports n’étaient jamais que « brefs et hygiéniques », rien de voulu ou de prolonger, aucun des deux ne l’aurait supporté. C’était déjà suffisamment dur de devoir partager sa couche avec un individu que l’on ne pouvait pas voir même en peinture alors imaginer un peu si leurs « devoirs » en tant que nobles avaient du s’éterniser ! C’aurait été un carnage, ni plus ni moins.

Avant toi est née Lucrezia, la jolie, la belle, la tendre. Elle n’était pas fausse comme votre mère et a bien y regarder, jusqu’à ce que l’on te cède contre quelques ducat d’or, c’est elle qui t’as choyée et élevé. Jusqu’à tes six ans, tout du moins. Tu l’aimais, pas vrai ? Tu aurais tout fait pour la protéger car elle était importante à tes yeux.

Et tes parents alors ? Ahah, la bonne blague. Une fois que ta mère eut accouchée de toi, après les neuf mois de calvaire que tu lui avais fait subir – petite vengeance avant l’heure, sans doute ?  - elle n’avait jamais plus posé un regard sur la pauvre larve que tu étais. Seules les domestiques et ton ainée t’accordaient un tant soit peu d’affection. Mais tu t’en contentais. Comment aurait-il pu en être autrement après tout ? Tu n’avais jamais connu que ça, donc pour toi, c’était normal.

Mais ton petit monde a fini par imploser, comme tout le reste. Parce que, tout simplement, plus on essayait de faire de toi la parfaite petite incarnation de la pureté pour ton destin préconçu avec l’église, et plus Lucrezia était là pour te rendre le sourire de petit d’homme se devant d’orner ton visage encore tout joufflu par l’enfance. Et ça, autant dire que ça ne plaisait pas du tout à vos parents, qui le lui firent comprendre à plusieurs reprises, à grand renfort de coups, de gifles et de ceinturon. Mais elle ne se plaignait pas la belle Lucrezia. Non. Jamais. Tu n’as jamais pu ne serait-ce qu’entre apercevoir ses larmes. Elle était ton modèle dans la vie, tu était son prince, son petit trésor auquel elle se raccrochait pour ne pas tomber dans une folie pure et parfaite qui l’aurait fait se défenestré sitôt la surveillance des gardes baissées. Elle restait pour toi.

Vexés et impuissants face à tant de détermination, Monsieur et Madame vos géniteurs finirent par trouver la solution radicale pour l’éloigner définitivement de toi ; le mariage. On lui trouva un concubin dans le plus grand secret et on lui annonçât la veille au soir qu’elle allait se marier. Et tout ça pour servir les intérêts de la famille, encore et toujours. Mais pourtant, là encore, elle ne pleura pas, jamais. Au contraire même, elle voyait ça comme une délivrance, de ne plus avoir vos géniteurs sur le dos. Le seul point noir a tout ça, c’était qu’elles devaient vous laisser derrière elle bien qu’elle eut tenter de négocier farouchement votre venue à tous les deux.

Mais elle avait aussi besoin de vivre sa vie de femme, aussi même si on le lui refusa, elle te promit de venir souvent vous visiter, autant qu’elle le pourrait.

Elle a séché tes larmes de sang ce soir-là, cette particularité qu’elle était la seule à connaître de toi puisqu’elle était la seule jusque-là, à t’avoir vu pleurer. Tu étais triste de la voir partir, c’est bien normal. Un seul être vous manque et le monde semble dépeuplé, parait-il. Et bien qu’ils le croient ou non, ces monstres adultes, mais toi, c’était avec une amère exactitude ce que tu ressentais lors de cette dernière étreinte. Tu l’aimais, Slender. Oh oui, tu l’aimais à en crever, ta grande sœur tant chérie. Pour elle, tu aurais fait n'importe quoi.

Le lendemain, au petite lueur de l’aube, elle est venue une ultime fois caresser ta chevelure d’argent et déposer un baiser sur ta joue de garçonnet endormi, veillant à ne point te tirer de ta léthargie. Tu avais besoin de te reposer après toutes ces ces émotions.

Lucrezia laissa tout de même un petit mot, sur ta table de chevet en renouvelant sa promesse de venue prochaine, pour vous. Et enfin, elle avait disparue sur le fil de l’horizon, emmenée par un carrosse tiré par de magnifiques étalons blancs. Le faste jusqu’à la toute fin, c’était ce que voulaient tes parents.

Mais au fait, c’était qui, ça, « vous » ? La réponse à cette question est si simple qu’il ne faut pas s’y attarder un millénaire non plus, ça ne servirait à rien. Vous, c’était Melissa et toi. Melissa, la dernière-née de la famille. Tu ne l’as pas très bien connu, dans ta jeunesse. Vous avez été séparés très tôt puisqu’à tes six ans, alors qu’elle soufflait tout juste sa première bougie, on t’emmena loin d’elle. Pour parfaire ton apprentissage du Divin. On ne t’a pas laissé e choix. Jamais.

Encore. Et tu as pleuré. Encore. Et ça faisait mal. Encore. Mais cette fois Lucrezia n’était pas là pour sécher ces choses-là. Donc, tu as serré les dents et souffert en silence pour tenter de masquer cette ignominie qui te caractérisait pourtant. Sur ce coup-là, tu as eu beaucoup de chance. Aucun ne vit ces perles rouges s’extraire de tes yeux tant tu avais bien essuyé ton visage. Ils étaient tous si occupés à préparer ton avenir qu’il en on oublier le principal concerné ; toi.

Mais ton secret ne fut pas gardé bien longtemps. La tristesse te dénonça. Encore. Pour ne pas changer.

Tu avais sept ans lorsqu’on t’emmena, au petit matin, dans un bien étrange endroit. Un grand soleil illuminait un autel fleurit, mais tu ne parvenais pas à te sentir bien dans cette ambiance lourde qui semblait transpirer de tous les êtres adultes autour de toi. Que se passait-il ? Tu te frottais alors les yeux pour essayer de mieux comprendre, pensant que c’était la fatigue qui te muselait la compréhension. Mais non. Tu aperçu des corbeaux, sombres messagers, voler autour du clocher tout proche. Leur croassement te fit avoir des frissons. Tu n’aimais pas la présence de ces maudits animaux.

Et puis, alors que l’évêque qui te tenait dans ses bras te déposa sur le sol, tu compris tout. Tous ces croyants, présents ici, dans une pareille atmosphère… Ce ne pouvait être que pour une seule raison.

Et tu hurlas. De toutes tes forces. Un cri perçant qui déchira presque l’assistance et son silence macabre. Bien qu’on ait essayé de te rattraper, tu as couru avec vivacité vers l’autel de pierre que frappait le soleil et ses rayons trop pâles pour être annonciateurs de bonheur. Une fois arrivé près de l’édifice, tu entamas alors une petite série de sauts, pour tenter attraper un pan de tissu qui en dépassait. Mais tu n’y parvins jamais, car tu étais trop petit pour atteindre ton objectif. Tout ce que tu pu faire, c’est appelé, désespérément.


    « Lucrezia ! Lucrezia ! Lucrezia ! »

Et laisser tes larmes couler. Encore. Mais tu t’en fichais, toi, de mettre du sang partout sur ta belle tunique blanche, toi, tu voulais juste que sa sœur ainée se réveille. Tu voulais sentir son étreinte, sa chaleur, autour de toi, encore une fois. Elle te l’avait promis. Tu l’avais cru. Elle n’avait pas le droit. Non. Elle ne pouvait pas faire ça. Elle ne pouvait pas t’abandonner. Non. Tu refusais d’y croire. Mais rien de ce que tu pu désirer ne changeât quoi que ce soit à la donne. Jamais.

Un adulte t’emprisonna alors dans ses bras puissants, te soulevant du sol alors que tu te débattais comme un petit diable. Il t’endormit avec une étrange technique et ta dernière vision, rougit par tes larmes, ce fut cette blancheur angélique dont la dépouille de ta sœur était entourée. Cette menteuse.

À ton réveil, tu ne voyais plus rien, alors forcément tu as paniqué. C’est normal. Mais là encore tu fus bien vite maitrisé. Deux pansement, sur chacun de ses yeux, avaient été placés là et soutenu par un bandage faisant le tour de ta tête. On pensait que tu t’étais blessé, au départ. Mais force est de constaté que non, tout ceci était « banal » pour toi. Alors le bruit a rapidement fait le tour de la communauté catholique, mettant en avant ton père et ta mère, qui ne se génèrent pas pour profiter de cette nouvelle improbable. Mais jamais une seule fois, ils vinrent s’enquièrent de ton état. Pour eux, tu venais de prendre davantage de valeur. Ton destin prit ce jour-là, un tout autre tournant. A tout jamais tu le regretteras.

Lucrezia… Lorsque enfin tu fus calmé, c’est une nonne compatissante qui t’expliqua le pourquoi du comment de son départ vers le Royaume Saint de Dieu.

Son mari l’avait tant battue qu’elle finit par succomber à ce sévices innommable. Personne ne t’a mis au courant autrement. Et quant au discourtois noble a qui l’on avait tout simplement vendu, ta sœur ainée ? Il ne fut pas poursuivi pour son crime. Tes parents n’en avaient que faire que Lucrezia ne soit plus là. Ça les arrangeaient, même. Ainsi, ils touchaient une certaine somme, dû aux funérailles, et récupérait la dot versée auparavant. Ce n’était à que bénéfice, et rien d’autre.

La demoiselle ayant pris le temps, en catimini, de t’expliquer tout ça tenta de te rassurer, en te disant que Dieu saurait voir la pourriture dans l’âme de cette homme et qu’il s’occuperait de le punir pour rendre justice à ta sœur ainée. Mais toi, tu n’en avais rien à faire. Tu n’avais même pas dix ans, tu voulais changer le monde et détruire toutes les injustices ! Tu voulais être de ces héros dont la jolie blonde maintenant décédée te contait les aventures.

Sauf que.

Ta santé te faisais cruellement défaut. Et tu ne tardas pas à le comprendre douloureusement. Nul n’aurait su dire de quelle genre de faiblesse tu étais attends mais le fait était que la moindre bactérie parvenait à chercher en ton corps un Eden pour son développement. Tu étais souvent alité, faible. Et tu détestais ça. Le sang s’évadait de ton corps à grand coup de quinte de toux, aussi. Elle fut affreuse, cette période, pas vrai ? Elle dura bien trois ans, en comptant toutes les maladies par lesquelles tu as été infecté tour à tour. Sitôt que tu posais un pied à terre, tu retombais, souffrant dès le lendemain. Ton enfance s’est aussi perdue dans les nombreuses pratiques médicales que l’on a testées sur toi histoire de voir si ça améliorait ton état, au moins un peu. Mais ça arrangeait bien tes géniteurs, au moins comme ça ils pouvaient t’avoir à l’œil et savaient en permanence ou tu étais. Ils avaient tout le temps de prévoir ton avenir, qui allait se mettre en marche sous peu, en plus de ça. Mais tu n’en savais rien, toi, l’innocent petit garçon que l’on trimballe tel un pantin désarticulé.

Le seul soutien que tu avais était celui des infirmières qui prenaient soin de toi lors de tes convalescences. Il  y avait Melissa aussi, qui venait parfois te voir dans les bras d’une nourrice, ou autre. Mais ce n’était que très rare et occasionnel. Pour des raisons que tu as toujours ignoré, là encore c’était votre père et votre mère qui interdisaient au maximum ces entrevues. Grand mystère que voici. Mais nous ne nous attarderons point plus longtemps sur ce point-là.

Lorsque tu eus enfin dix ans, au lendemain de la « célébration » de ta naissance –que tu passas seul, pour ne pas changer – on t’emmena sans aucune douceur dans un lieu sombre, que tu supposais être un sous-sol. Toi, tu as tout simplement suivi docilement les adultes, ne pensant pas qu’ils pourraient te causer un quelconque tords. Ahah, si tu avais su.

En voyant cette espèce de table de granit, tu ne t’es pas immédiatement méfier. Non. En fait, c’est quand on a commencé à te trainer de force vers ladite table et que l’on t’y a couché, dos vers le plafond que là, oui, tu as commencé a sérieusement paniquer. Mais rien n’y fit, les adultes étaient, comme le veut la nature, bien plus forts que toi.

Alors, tandis qu’on te tenait fermement et qu’on t’empêchait de bien comprendre ce qu’il se passait, tu sentis l’aiguille, imbibé d’encre noir, pénétrer ta peau pour y laisser, a tout jamais une trace de son passage. Ça faisait mal, horriblement. C’était comme si on te cisaillait la peau, encore et encore. Et tes cris ne firent rien pour ralentir le processus. Et tes larmes rouges non plus. Tu ne voyais plus rien et tu suffoquais, avec cette chaleur dont tu ignorais la provenance exacte. Mais tu ne tardas pas à y gouter, ça aussi.

Tes hurlements redoublèrent lorsque le fer rouge se posa sur sa délicate et soyeuse peau d’enfant. On ne voulait pas, pensant que tu étais l’élu du Seigneur, que tu oublies la voie de la Sagesse et de la Raison. Aussi, sans vergogne, on t’a marqué. Comme un animal. Dans tout ton dos se dessinait maintenant une croix sacrée aux pointes crantées rehaussées par un passage du fer rouge. Car tu ne devais pas oublier. Jamais. Telle était ta vocation, celle que l’on t’imposait, encore. Pour ne pas changer.

Lorsque l’on en eut fini avec cette tâche, lorsque l’on eut fini de graver le sceau de l’église sur ton dos, on se fit tremper dans de l’eau gelée pendant des heures, afin que tu ne sentes plus la douleur. Ah ça, pour ne plus la sentir, c’était clair que tu ne la sentais pus. À vrai dire tu ne sentais même plus ton propre corps tant c’était froid ce dans quoi ils t’avaient balancés les évêques, histoire de te purifier jusqu’à la moelle.

Tu regardais le plafond inhibé de cette lumière si blanche qui traversait la fenêtre, ne te posant aucune question. Tu ne voulais plus savoir. Tu ne voulais plus souffrir. Alors, tandis que sans succès tu essayais de faire bouger tes petits doigts dans cette eau si glaciale, tu te dis que jamais plus tu ne chercheras à fuir. À quoi bon ? Maintenant qu’on t’avait marqué, qu’on t’avait vendu – tu n’en aura cependant la confirmation que bien plus tard – et qu’on traçait un chemin prémâché pour toi, pourquoi lutter ? Ils avaient réussi. Ils t’avaient brisé.

Tu honorerais le Dieu unique dans ce cas. In Nomine Patris.
Et tu t’oublierais, par la même occasion ; car tu n’es qu’un pion. Et tu n’as toujours été qu’un pion. Esperitus sanctis.

Une semaine plus tard, à la mort du Pape jusque-là en fonction, Innocent XII, on te fis venir tout spécialement à l'Église où il avait rendu son dernier soupir. Rappelons le, tu n’avais que dix ans. Mais ce n’est pas cet âge enfantin qui empêcha le collège des cardinaux de t’élire en tant que successeur du Pape, alors que tu n’avais rien demandé, toi. Ils furent tous unanime. Motif ? Tes larmes de sang ne pourraient que guider les âmes égarées vers l’Eden et protéger l’Église des menaces qui planaient au-dessus d’elle.

Ton couronnement fut l’occasion de faste et de grands banquets auxquels tu fus bien forcé d’assister. Même si tu finissais toujours par t’endormir au milieu. Tu étais bien trop jeune à l’époque. Et puis surtout, les premiers temps tu étais terrorisé, au point de ne pas pouvoir en dormir la nuit. Pour seule compagnie, tu avais le « Silence de Dieu », et c’était oppressant.

Ta santé n’est pas allée en s’améliorant dans tout ce bordel autour de toi et cracher du sang devint de plus en plus banal, pour toi. Tu savais que tu allais mourir prématurément de toute manière. Après, quand… C’était là une toute autre histoire. Mais tant que tu portais et portera cette tiare, sertie de trois couronnes sur ta tête et que la bague de Pape se trouvait à ton pouce, personne n’avait rien à en redire. Et malgré tout ça, tu continuais de recevoir les Princes et les Rois du Monde Entier, qui demandaient conseil auprès de toi, la très jeune sainteté et désiraient, par la même occasion, être couronné par tes soins.

Et te voici à présent, dans cette lancinante monotonie vieille de douze ans à présent. Tu es le plus jeune de tous les Papes connus mais n’en fait pas une fierté. À quoi bon ? À quoi cela pourrait-il bien te servir ? Et puis, ne dit-on pas que l’orgueil est le pire des pêchés ? Si tel est cas, alors tu ne te feras pas prendre à son jeu de débauche et marchera droit vers la lumière, comme tu le fais depuis ton plus jeune âge, en portant aussi fièrement que possible ton rôle de Pape. Parfois, tu revois tes parents, mais tu n’es pas dupe, ils ne s’intéressent toujours pas à toi. Ils viennent simplement pour faire acte de présence et rien de plus.

Toi…Et bien toi, Slender, il ne te reste plus que tes prières vaines à continuer d’honorer chaque jour que le Tout puissant est en mesure d’offrir à l’humanité. C’est la seule chose qui te permet de te sentir un tant soit peu vivant. Et ta douleur quasi-continuelle, aussi.

Quelle triste vie.

Ton prénom ou surnomNil' Ton âge 16 ans Que penses-tu du forum ?écrire ici T'es arrivé là comment ?écrire ici Code règlementValidé par l'Évêque pervers =p! Un dernier mot ?écrire ici
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MessageSujet: Re: In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée]   In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée] Icon_minitimeVen 2 Nov - 16:16


Tu es VALIDÉ(E)

Tu es désormais validé(e) ! Bienvenue dans la grande famille de 07-ghost ! Nous espérons que tu te plairas parmi nous. Si jamais il y a un souci, préviens un membre du staff par mp.

Très belle fiche qui a le bon nombre de mots et tout et tout, mon cher Slendy! ^^ J'espère que tu te plairas ici ! Bon RP Smile Il y a quelques fautes, mais vu le nombre de mots je me suis dit que c'était ok. Seulement faire attention en RP.

Au plaisir de te confronter, boss (xD)

Maintenant, tu peux aller faire une demande de rp ICI.
Créer ta fiche de lien par ici.
Et n'oublie pas d'aller [recenser] ton avatar s'il ne fait pas parti du manga !
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Renovatio
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Renovatio


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In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée] Empty
MessageSujet: Re: In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée]   In Nomine... Amen. || 100% [Frau] [corrigée] Icon_minitimeMar 5 Nov - 14:36

REFONTE DU PERSONNAGE. TERMINÉE. 100%


Renovatio


Nom • // Prénom • Renovatio (le Renouveau, en latin) Surnom • Encore aucun Âge • Approximativement 23 ans Groupe • Créatures Mythiques Rang/Métier •  Ange Avatar • Toujours Yue d'Akaya Akashiya Ayakashino + Lugia de Pokémon pour la forme offensive de Renovatio.

Zaiphon • Aucun, ses pouvoirs d’anges lui sont bien suffisant Arme(s) • Une faux interchangeable en fusil longue portée. Situation • Célibataire Orientation sexuelle • Qui sait ? Crédit • Trumblr  
..J'ÉTAIS.. JE SUIS..
..ET JE SERAI.
.

S’il y a une chose à savoir sur Renovatio, c’est qu’il est un être entier. Avec lui, ça passe ou ça casse. Soit il vous aime, soit il ne vous aime pas. Avec lui il n’y a pas de compromis. Il peut nuancer ses propos – il est un Ange après tout- mais jamais revenir sur une parole, sauf cas très exceptionnel. Et encore. Lorsqu’il se met en tête de châtier une tierce personne, il est très compliqué de le faire changer d’avis sur la question. Ou alors il faut faire partie intégrante de son cercle d’amis très fermé. Peut-être est-ce là une résultative du fait de n’avoir pour seule mémoire qu’une coquille presque vide ? Qui sait. Peut-être que lorsque ses souvenirs lui reviendront, petit à petit, il saura devenir plus calme et posé, plus adouci et moins acerbe.

C’est une certitude que l’on ne peut affirmer pour le moment, il nous est simplement permis de spéculer et d’attendre pour nous faire un avis tranché.

Autrement, c’est une personne qui a le goût du travail bien fait. Il est parfaitement conscient de son statut d’Ange et du devoir qu’il doit honorer, ainsi. C’est inscrit en lui, dans ses gênes, sans doute. Peu de choses parviennent à l’effrayer, à lui faire courber l’échine. Seul Dieu serait capable de le juger ou de le terrifier. Mais il fait confiance à cette entité divine plus que quiconque et n’hésite pas, lorsqu’il le peut, à prêcher sa bonne parole. Sans pour autant dévoiler sa condition divine, il sait qu’il n’en a pas le droit. Du moins pas dans des situations classiques, ou l’état d’urgence de prévaut pas sur le reste.

Renovatio se donnera volontiers corps et âme – c’est le cas de le dire, ahah – à une cause ou pour tirer quelqu’un d’un mauvais pas s’il estime suffisamment cette victime, bien sûr. C’est là l’un de ses principaux défauts, sans doute. L’amertume. Difficile de savoir d’où ça lui vient exactement, mais l’Ange est une créature qui n’est nullement effrayé d’utiliser des mots tranchants, parfois blessants ou particulièrement acides.

Il y a à cela deux raisons possibles, déclinables à l’infini. Soit il ne vous aime vraiment pas et dans ce cas vous cracher à la face le fond de sa pensée ne peut être pour lui qu’une bonne chose ; autrement, c’est alors tout le contraire, il vous adore. Il est certes étrange de penser qu’une personne tenant à vous un minimum puisse vous parler ainsi, mais ce ne sera que son dernier recours pour vous faire réagir et vous faire sortir du mauvais état mental dans lequel vous êtes plongés depuis bien trop longtemps à son goût. Parfois, si ça va trop loin, il n’est pas exclu non plus qu’il puisse vous empoigner un peu par le col de vos habits pour vous secouer un peu de façon plus concrète.

Mais ne vous en fait pas, malgré qu’il soit le radical opposé de son identité précédente, Renovatio reste tout de même une personne au grand cœur. Simplement, il est parfois trop fier pour accepter de le reconnaître, tout simplement. Laissez-lui un peu de temps ; après tout, il est tout de même déroutant de ne plus posséder toute sa tête, n’est-ce pas ? Le temps gommera.
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..IL ETAIT UNE FOIS..
..IL Y A BIEN LONGTEMPS.
.

« Ô mon cher frère, pardonne, je te prie, ceux qui ont fauché ta vie. »

Mes yeux ne s’ouvrent pas. Je me sens étrangement serein, tout à coup. Il fait chaud, agréablement chaud. J’ai l’impression de n’avoir jamais ressenti une chose pareille auparavant. Je voudrais que cet instant s’étire à l’infini. Un repos bien mérité, voici ce dont je requiers la présence. Je ne sais pas ce qu'il m’arrive, mais j’aimerais dormir encore un peu. S’il n’y avait pas cette voix dans mon crâne, je pourrais facilement y parvenir, je pense.

« En remerciement de ta servitude acharnée envers moi, je vais t’offrir un corps neuf, vierge de tout mal. »

Je n’arrive pas à chasser cette vocalise, et pourtant, elle ne me dérange pas. La plénitude m’enveloppe tendrement, j’ai l’impression qu’il s’agit presque des bras d’une mère, ou a contrario d’une personne qui sait éprouver de l’amour pour moi. Je souffle, j’ai l’intime conviction de connaître cette voix, en plus. Je l’ai déjà entendu, je le sais. Mais où ?

« Toutefois, je ne puis t’accorder ce présent sans y ajouter une condition. »

J’aimerais bien pouvoir parler, mais ma gorge est comme scellée. D’ailleurs, il en est de même pour mes paupières. Je panique un peu, soudainement. Je hais cette sensation de ne plus pouvoir bouger. J’ai peur. Et le discours s’étend encore.

« Ta mémoire. Ta nouvelle quête commence maintenant. Je jure que tu retrouvera tes souvenirs partiellement à mesure que tes anciens alliés effleureront ton derme. »

Mais bon sang, de quoi il parle ? De qui il parle ? Mes alliés ? Quoi ? Sérieusement, je suis qui, là ?

Je sens deux mains, douces et chaleureuses, se poser sur mes joues froides. Et une nouvelle voix qui s’amène. Cette fois, c’est celle d’une femme.

« Ne crains rien, petit frère, car tu va revenir à la vie sous la plus pure forme qui soit. »

Ça ne m’avance guère davantage. Revenir à la vie ? Ça veut dire quoi ? Je suis mort, c’est ça ? Je ne me rappelle plus de rien, pourtant. Enfin, si. Mon corps me picote par endroit, mais rien d’abominable en soit. Je dois être anesthésié, probablement. Je veux en savoir plus, je veux que cette femme continue de me parler encore. J’ai aimé sa voix, elle m'a rassuré, un peu. J’ai un peu froid, encore.

« Je sais que tu seras à la hauteur de cette tâche également, il ne peut en être autrement. »

Je sens que des lèvres embrasse mon front, non sans écarter préalablement ce que identifie comme étant quelques mèches rebelles de cheveux.

« Car après tout, tu es mon cher petit -»

Elle allait donner un nom. Mais au moment M, je n’ai tout à coup plus rien ressenti. Non, rien. Ni lumière, ni chaleur, ni tendresse. Je m’endors, cette fois. Je me demande si c’est pour de bon.

Mes yeux se rouvrent difficilement. Je ressens une certaine sensation de confort. Pas aussi présente qu’avant, mais là tout de même. Quelques minutes supplémentaires me sont nécessaires pour que je me redresse. Ou étais-je, exactement? Je l'ignorais. Je me trouvais dans un lit, c'était tout ce que je savais. A côté de moi se trouvait un tabouret sur lequel reposait des vêtements pour le moins... excentriques. Enfin, j'exagère un peu, mais je ne m'attendais pas vraiment à ça. Pour être honnête je ne m'attendais à rien.

J'ai tendu une main vers l'ensemble - et par la même occasion entendis toutes mes articulations craquer sinistrement comme si elles avaient été longtemps engourdies. Une fois les vêtements enfilés, je me contemplais dans le seul miroir à disposition. Ma foi, tout ceci m'allait plutôt bien. Je trouvais une paire de lunettes noire, s'assortissant au reste qui recouvrait maintenant tout mon corps hormis ma tête et la déposais sur le bout de mon nez. Parfait.

Mais ça ne répond toujours pas a ma question. Je viens d’où? La seule chose qui me reviens en mémoire, c'est Renovatio. Je crois que c'est mon nom. Et aussi étrange que ça puisse paraitre, je sais que je suis un Ange au service de Dieu. Je suis bien avancé comme ça. Ah ah, la bonne blague.

J'ai finis par comprendre comment j'étais arrivé dans ce lit. La propriétaire des lieux, une dénommée Lacie, m'avait trouvé dans le canyon, gisant inerte. Elle avait trouvé étrange que je fut-ce encore en vie, mais en constatant cela, elle m'avait donc prit sous son aile pour m'emmener en lieu sur. Si tant est qu'on puisse qualifier sa baraque ainsi, bien entendu. Ahem.

J'appris, entre autre, qu'elle était une Skypirate. Mais il y avait autre chose d'un peu surnaturel, qui s'échappait de sa personne. Je n'aurais pas su définir ce que c'était avec précision mais... Oh puis peu import. Elle fit de moi un Skypirate et voici maintenant quelques mois que je l'accompagne dans des figures de voltiges en plein air. Mine de rien, je suis plutôt bon pilote!

Ton prénom ou surnom • Omnos/Cardinal Red. Ou Slender ici. Ton âge • 22 ans Que penses-tu du forum ? • Ahah. Selon vous? T'es arrivé là comment ? • Google il y a loooongtemps Code règlement • J'y suis déjà passééééé. Un dernier mot ? • MOT. Non, seriously, j'espère que vous aimerez le nouveau Slender. Enfin, Renovatio.
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