Messages : 45 Date d'inscription : 24/09/2012 Age : 31 Localisation : Dans mes songes
Sujet: Hanae, la fleur bénie des Cieux Lun 24 Sep - 16:49
Hanae
« Le Soleil brille pour tout le monde »
Nom • InconnuPrénom(s) • HanaeSurnom(s) • ×××Âge • Une quinzaine d'annéesGroupe • ×××Rang/Métier • CitoyenneAvatar • Chitanda Eru, Hyouka
Zaiphon • Zaiphon Curatif. Hanae parvient à soigner de petites blessure à l'aide de son Zaiphon et de sa main droite. Celui prend la forme d'une écriture avec de multiples couleurs. Les couleurs de l'arc-en-ciel. Elle ne le maîtrise pas beaucoup mais de temps à autre elle s'exerce...Arme(s) • écrire iciSituation • CélibataireOrientation sexuelle • Ne s'est jamais posé la questionCrédit • écrire ici, de la bannière/gif, des icons
..J'ÉTAIS.. JE SUIS.. ..ET JE SERAI..
Qui suis-je à l'intérieur, tout au fond de moi ? Je suis toujours la même petite fille, une petite fille qui a peur du noir, des araignées et de orage. Toujours la même enfant qui regarde les papillons avec étonnement. Toujours la même gamine qui aime contempler les fleurs, leurs couleurs et sentir leur parfum unique à chaque espèce. Voilà qui j'étais, voilà ce que je demeure : une enfant, tout simplement.
Etant enfant, il paraît que j'étais une gentille petite fille sans histoire, une jeune fille qui riait, dansait, jouait, bref, une enfant comme toutes les autres. Peut-être un peu plus résevrée de temps à autres. Je me souviens avoir passé beaucoup de temps à regarder la nature, parfois même toute une journée durant. Et pourtant je ne m'ennuyais pas, je n'avais pas ce sentiment, juste je me sentais bien. Je me sens bien seulement en extérieur. Passer la nuit dans ma chambre et parfois une sacrée épreuve. Tout d'abord parce que j'ai peur du noir, et d'autre part parce que je ne me sens pas à l'aise, j'ai besoin d'air, d'espace. Si je suis enfermée dans une pièce, ou tout simplement dans une petite pièce, la porte fermée, à clé ou non, je panique.
Moi si calme habituellement, panique vraiment beaucoup. J'en pleure, je ressors totalement dévastée. Je ne me souviens plus pourquoi, juste, voilà ce qu'il se produit. Néanmoins, si je suis accompagnée par une personne que j'aime particulièrement bien, alors je peux à peu près surmonter ma peur. A peu près parce que cela ne m'empêche pas de pleurer, ou encore d'avoir les larmes aux yeux. Je suis une personne sensible, dans le sens ou je pleure facilement, je panique facilement, mais pourtant j'ai du mal à sourire lorsque l'on me regarde, j'ai du mal à me livrer. Je garde les choses qui me tracassent tout au fond de moi, de mon cœur, je ressasse beaucoup, je cherche, je ne trouve pas forcément. Trouver quoi ? Des réponses aux questions que je me pose. Je m'en pose beaucoup, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je me rend souvent à la bibliothèque, j'aime les livres, leur odeur, enfin l'odeur du papier et cette texture... Franchement comment résister ? Moi en tout cas, je n'y parviens absolument pas !
M'enfin. J'aime lorsque les gens autour de moi sont heureux, lorsqu'ils sourient, s'amusent, tout ça quoi... Je n'aime pas lorsqu'ils sont triste ou alors lorsqu'ils hausse le ton de leur voix. Je déteste ça, et me sens vraiment vraiment pas bien. J'ai juste l'envie de me cacher jusqu'à ce que l'orage passe ou alors jusqu'à ce que le vent m'emporte loin, loin... Sinon, bah j'aime mener mes deux activités favorites:lire et regarder la nature. Alors je prends des livres et je vais dehors, il existe tellement d'endroit magnifique... Vraiment, c'est le paradis.
Je parle peu avec les autres, je communique peu avec les autres sauf peut-être un peu avec Razette. Elle au moins elle est gentille ! Je n'aime pas parler vraiment, je sais pas, c'est ainsi, une sorte de peur stupide, une peur incontrôlée de se confier aux autres. Alors peu de gens me connaissent vraiment, même si j'aimerai bien être entourée et rire, sourire comme autrefois, comme la petite fille que je suis encore.
..IL ETAIT UNE FOIS.. ..IL Y A BIEN LONGTEMPS..
I. Enfance La naissance d'une fleur
Hanae est née d'un père et d'une mère, ce qui est quelque chose de tout à fait naturel. Rien de spécial, juste une grossesse comme les autres pour un enfant voulut. Ses parents étaient des personnes simples, douces et gentilles. Ils avaient le cœur sur la main, toujours prêts à aider les autres dans la possibilité de leur moyens. En effet, ils n'étaient pas très riche, mais cela suffisait à subvenir aux besoins de la famille et même un peu plus.
Pour eux, leur petit trésor était leur enfant, cette toute petite fille au sourire magnifique et aux grands yeux violets. Elle était si jolie et ils aimaient tellement les plantes qu'ils l'appelèrent Hanae, signifiant « la fleur bénie des dieux ». Un joli nom pour une jolie et gentille jeune fille. Etant petite elle n'était pas très dégourdie, toujours en train de tomber, pour un rien d'ailleurs, sans une raison précise, un peu comme si elle ne pouvait s'empêcher de trébucher. Peut-être était-elle un petit peu trop dans la lune ? Qui sait ? Elle était toujours intéressée par tout, aimant toujours tout savoir, curieuse de nature et posant toujours une seule et même question : « Pourquoi ? », à croire qu'elle n'avait que ce mot là à la bouche. Cette période dura très très longtemps au grand désespoir des proches et amis, qui commençaient à se demander quand elle arrêterait d'être aussi curieuse sur tout. Même si au fil du temps cela s'atténua, elle garda son esprit critique et son envie de tout savoir sur le monde, de le découvrir dans les moindres détails.
Elle grandit heureuse, avec son père et sa mère, ils étaient bien tous ensemble. Vivant de leur exploitation de fruits et légumes mais aussi de la vente de fleurs et de colliers en perles que sa mère faisait. Rien de spécial, ils éduquaient leur enfant pour qu'elle soit heureuse mais aussi et surtout de chose à ce qu'elle reste dans le respect des autres et de la nature. Voulant qu'elle soit une belle et grande fille au grand cœur sachant tout de même dire non, histoire qu'elle ne soit pas prise pour une imbécile par la suite.
Avec son sourire et sa bonne humeur, elle mettait en joie tous ceux qu'elle rencontrait. D'une certaine façon elle souhaitait que tout le monde soit heureux et puisse se sentir bien ne serait-ce qu'un instant. Qu'ils puissent sourire, rire pleinement sans se soucier de leur rang dans la société, sans se soucier de ses problèmes. Tout monde a le droit à un petit morceau de liberté, à un morceau de vie propre.
Hanae grandit, plutôt rapidement au niveau psychologique. En effet elle était plutôt avancée sur son âge à force de vouloir tout savoir sur tout. Elle savait lire et écrire très tôt et adorait raconter des histoires aux plus petits enfants. Notre jeune héroïne voulait devenir institutrice. Pourquoi ? Eh bien parce qu'elle adorait les enfants, qui eux-mêmes l'aimaient beaucoup, elle aimait aussi apprendre et renseigner les uns et les autres. C'était pour elle quelque chose de tout naturel, et donc elle se destinait à cela.
Néanmoins il arrive que les rêves ne reste que des images impossible et hors de porté.
II. Parfois il suffit d'un rien pour tout faire basculer Rien ne sert de pleurer sur son passé, cela ne le fera pas revenir
Un jour où il faisait beau, Hanae était partie flâner comme à son habitude dans une bibliothèque puis elle était allée rendre une visite aux enfants du village. Cela était pour elle, quelque chose de tout à fait normal, elle n'avait rien fait de mal, mais lorsqu'elle rentra à la maison. Il n'y avait personne. Plus rien. Ni son père ni sa mère. Tous deux avaient comme disparu. Hanae un peu paniquée, décida d'attendre jusqu'au soir, avec une sorte de boule au ventre. Plus elle attendait plus elle sentait son cœur se déchirer.
Ces parents ne rentrèrent pas. Ils ne rentrèrent ni le soir, ni le lendemain, ni le sur-lendemain. Elle se posait une tonne de questions et personne n'était présent pour lui répondre. Elle se sentit alors seule, plus seule que jamais, et elle sombrât peu à peu dans les ténèbres. Hanae à l'âge de quinze ans, elle allait taper aux portes des voisins pour savoir s'ils avaient vus ses parents, s'ils les avaient vus partir. Après un long moment de questionnement et d'absence, elle sut que personne ne reviendrait malgré un petit éclat d'espoir dans son cœur. Elle fut si déboussolée qu'elle en oublia son nom de famille et une partie de son enfance. Ces moments étant bien cachés au fond d'elle, fermés à double tour, pour une raison x ou y, elle ne le sait pas elle-même. Seulement elle ne parvient pas à se souvenir.
Elle allait de déceptions en déceptions. Ne sachant plus trop quoi faire, elle partit en voyage. Elle partie pour essayer de trouver des réponses à ses questions. Elle rencontra différentes personnes dont une s'appelant Myrem. C'était un homme qu'elle rencontra dans la rue. Hanae essayait de vendre des objets pour une personne l'ayant embauchée au marché, lorsqu'elle fût subjuguée par le regard de Myrem. Elle ne le rechercha pas spécialement mais elle finit par tomber sur lui au coin d'une ruelle conduisant à une fontaine.
Il finit par lui adresser la parole au bout d'un moment assit à quelques mètres d'elle. Elle ne lui répondit pas dans un premier temps. Elle ne parlait déjà presque plus depuis que sa famille avait disparut. D'ailleurs son magnifique sourire avait lui aussi disparut en même temps que cet événement. M'enfin, revenons à leur rencontre. Il lui adressa le premier, la parole, lui demandant comment cela se faisait qu'une jeune fille se retrouve toute seule dans la ville à travailler, à vendre sans aucune émotion sur son visage.
Notre petite fleur ne réagit pas se repliant plutôt sur elle-même. Elle n'avait pas envie de lui parler, pas envie de se confier sur quoi que ce soit. Elle était blessée d'une blessure qui ne se referme pas, qui n'arrive pas à se cicatriser car il restait trop de questions en suspend.
Sans comprendre vraiment pourquoi il vint à côté d'Hanae et lui proposa quelque chose, il lui proposa de le suivre. Elle était seule, lui aussi, et il voulait lui montrer le monde. De cette manière, elle pourrait en apprendre plus sur le monde et peut-être sur la mystérieuse disparition de ses parents. Myrem entreprit d'apprendre à Hanae une façon de vivre sans pour autant oublier son passé. Il ne posa aucune question sur elle. Il voulait qu'elle lui parle d'elle-même et non qu'elle se sente obligée. Il lui apprit aussi à utiliser les Zaiphons, ces pouvoirs dépendant fortement des émotions de celui ou de celle qui les utilisent. Au début elle ne savait pas les utiliser, même si Myrem pensait qu'elle en été capable. Pour elle ce n'était que quelque chose de farfelu mais d'inédit, d’intéressant. Elle s'efforça d'utiliser les Zaiphons à l'aide de son professeur désormais particulier qui se demandait vraiment s'il avait fait le bon choix. Non, je rigole, il savait qu'il l'avait fait mais il se demandait ce qu'il pouvait bien se passer dans le cœur de la jeune fille pour que son énergie soit aussi négative et en proie aux doutes.
Un jour alors qu'ils voyageaient tous les deux, ils furent pris en plein dans une bagarre entre l'armée et les citoyens. Ils disaient rechercher quelque chose que les citoyens ne connaissaient apparemment pas. La situation paraissant sur le point de dégénérer, Myrem s'interposa, et fini bien évidement blessé. Les personnes qui jouent aux héros finissent toujours par être blessé, c'est toujours ainsi avec les gentils. Il fut donc blessé par l'armée, assez grièvement pour mourir. Cela secoua fortement Hanae, qui se mis à ses côtés, les larmes aux yeux, puis elle essaya de le déplacer à l'écart de la foule. Elle lui demandait de lui dire quoi faire (elle lui parla, oui!), elle ne voulait pas perdre une autre personne chère à son cœur. C'est alors qu'en se concentrant elle put utiliser son Zaiphon. Il n'était pas offensif, non, celui-ci lui permit de soigner son maître de cœur. Pas tout à fait complètement, mais assez pour que sa vie ne soit plus en danger. Myrem alla se faire soigner dans l'église du coin, qui les aida volontiers. Des gens tout à fait sympathique. Hanae, le cœur confus, trouva en cet endroit un sentiment de paix. Elle se sentit mieux. Elle ne comprenait pas pourquoi, non, mais elle arrivait un peu mieux à organiser ses pensées, elle arrivait enfin à y voir un peu clair autour d'elle. Une façon de faire le tri, un endroit qui arrivait à lui faire du bien. Enfin.
Myrem fut reconnaissant envers Hanae qui elle fut tout simplement soulagée de ne pas perdre quelqu'un qui lui était cher même si elle ne le lui disait pas. Elle se pensa beaucoup de questions quant au pourquoi son Zaiphon avait marché à cet instant et pas au moment où elle l'avait voulu, mais aussi au pourquoi il avait prit cette couleur ou plutôt ces couleurs lumineuses. Pourquoi était-il ainsi alors que celui de Myrem était bleu et noir? Aucune idée, et d'ailleurs Myrem lui-même ne revint pas sur le sujet. Il lui proposa de partir de l'église pour aller dans un endroit qui pourrait lui plaire et où elle se sentirait sans doute le mieux du monde. C'est avec une grande curiosité qu'elle accepta. Elle n'était pas franchement sûre d'elle, mais elle commençait à lui faire confiance. Une année passée à ses côtés avait fait qu'elle se sentait plutôt bien en sa compagnie et qu'elle voulait rester avec lui. En fait elle ne s'était plus imaginé sans lui.
Myrem, les amenèrent jusqu'au 7ème district. Il l'emmena dans un endroit sacré. Elle fut éblouie par autant de couleurs, par autant de simplicité mais aussi elle fût surprise que les gens soient tous plus ou moins heureux, souriants, et gentils avec elle et les autres. Hanae se sentit le mieux dans les jardins, dans la bibliothèque mais aussi à l'intérieur de l'église, elle trouva curieux les statues que nous pouvions observer dans cette église aussi grande que magnifique. Elle avait un peu de mal, mais elle appréciait cet endroit, son atmosphère. Pourquoi ? Pas vraiment de raison, juste le fait de se sentir le mieux possible, tout simplement.
Hanae-chan voulait bien rester ici, elle se sentait bien, et pouvait faire ses recherches sur le monde et sur la disparition mystérieuse de ses parents. Elle pouvait aussi continuer sa vie au sein de l'église avec Myrem. Que demander de mieux ? Qu'il reste avec elle. Il décida de partir quelque temps, avant de revenir la chercher. Il lui avait promis mais elle, elle ne voulait pas le laisser. Il lui fit difficilement entendre raison, la laissant aux soins des sœurs et des évêques de ce lieu sacré. Il lui donna sa chaîne en argent portant un pendentif en forme de dague, surmontée d'ailes et entourée par deux serpents entrelacés. Il lui donna car il y tenait beaucoup comme à elle. Donc il irait forcément les récupérer dans un temps plus ou moins proche.
Elle le laissa partir, très difficilement certes, mais elle le fit, triste, un maux au cœur, mais ce n'était pas grave car elle savait que lui reviendrait. Donc elle décida de vivre à l'église, tout en continuant sa vie, en essayant de comprendre tout ce qu'il s'était passé auparavant mais aussi trouver sa propre voie. Son propre destin.
Ce qui s'est réellement passé:
[center]III. On oubli seulement ce qui nous fait mal.
Il y a des mots, des images qui restent en mémoire mais dont nous ne sommes pas désireux de garder. Nous voulons les oublier car cela nous fait mal, mais pendant ce temps nous cherchons les pièces manquante d'un puzzle dont nous avons les clefs.
Hanae est effectivement allée, le jour du drame faisant basculer sa vie à la bibliothèque et au village, néanmoins lorsqu'elle est revenue chez elle, elle a retrouvé ses parents ou plutôt des êtres ressemblant à ses parents puisqu'ils étaient ailés. Des êtres ailés d'os, des êtres ne semblant plus être sa famille, lui demandant quelque chose qu'elle ne comprit pas. Elle partit alors à toute jambes pour trouver un endroit où se cacher mais aussi et surtout se réveiller. Car pour elle c'était tout simplement un cauchemar. Quelque chose qui n'aurai absolument pas avoir lieu d'être.
Elle se réfugia, dans un endroit sombre, sombre pour que cette chose ne puisse pas la retrouver et elle s'évanouit.
Elle ne se réveilla que quelques jours plus tard dans l'église du village et elle avait perdu une partie de sa mémoire. Son imagination reconstruisit alors la scène tragique, jusqu'à sembler plus vraie que nature. Pour ce qui est de ses parents, personne n'a rien vu et personne n'a remarqué qu'ils n'étaient plus là avant de retrouver Hanae seule, perdue dans le noir. Elle avait même oublié son nom de famille, c'est-à-dire ce qui la rattachait réellement à ses personnes, à ses parents transformé en Kors. ♠
Les ecclésiastiques la prirent en charge pendant un petit moment, le temps qu'elle retrouve un peu ses esprits et qu'elle décident de s'en aller. C'est après être partie qu'elle fit sa rencontre avec Myrem.
Voici la vérité. Néanmoins, toute vérité n'est pas bonne à raconter ~ ♠ ~
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Ancienne fiche:
Hanae
« Le Soleil brille pour tout le monde »
▬ Mental ;;
Qui suis-je à l'intérieur, tout au fond de moi ? Je suis toujours la même petite fille, une petite fille qui a peur du noir, des araignées et de orage. Toujours la même enfant qui regarde les papillons avec étonnement. Toujours la même gamine qui aime contempler les fleurs, leurs couleurs et sentir leur parfum unique à chaque espèce. Voilà qui j'étais, voilà ce que je demeure : une enfant, tout simplement.
Etant enfant, il paraît que j'étais une gentille petite fille sans histoire, une jeune fille qui riait, dansait, jouait, bref, une enfant comme toutes les autres. Peut-être un peu plus résevrée de temps à autres. Je me souviens avoir passé beaucoup de temps à regarder la nature, parfois même toute une journée durant. Et pourtant je ne m'ennuyais pas, je n'avais pas ce sentiment, juste je me sentais bien. Je me sens bien seulement en extérieur. Passer la nuit dans ma chambre et parfois une sacrée épreuve. Tout d'abord parce que j'ai peur du noir, et d'autre part parce que je ne me sens pas à l'aise, j'ai besoin d'air, d'espace. Si je suis enfermée dans une pièce, ou tout simplement dans une petite pièce, la porte fermée, à clé ou non, je panique.
Moi si calme habituellement, panique vraiment beaucoup. J'en pleure, je ressors totalement dévastée. Je ne me souviens plus pourquoi, juste, voilà ce qu'il se produit. Néanmoins, si je suis accompagnée par une personne que j'aime particulièrement bien, alors je peux à peu près surmonter ma peur. A peu près parce que cela ne m'empêche pas de pleurer, ou encore d'avoir les larmes aux yeux. Je suis une personne sensible, dans le sens ou je pleure facilement, je panique facilement, mais pourtant j'ai du mal à sourire lorsque l'on me regarde, j'ai du mal à me livrer. Je garde les choses qui me tracassent tout au fond de moi, de mon cœur, je ressasse beaucoup, je cherche, je ne trouve pas forcément. Trouver quoi ? Des réponses aux questions que je me pose. Je m'en pose beaucoup, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je me rend souvent à la bibliothèque, j'aime les livres, leur odeur, enfin l'odeur du papier et cette texture... Franchement comment résister ? Moi en tout cas, je n'y parviens absolument pas !
M'enfin. J'aime lorsque les gens autour de moi sont heureux, lorsqu'ils sourient, s'amusent, tout ça quoi... Je n'aime pas lorsqu'ils sont triste ou alors lorsqu'ils hausse le ton de leur voix. Je déteste ça, et me sens vraiment vraiment pas bien. J'ai juste l'envie de me cacher jusqu'à ce que l'orage passe ou alors jusqu'à ce que le vent m'emporte loin, loin... Sinon, bah j'aime mener mes deux activités favorites:lire et regarder la nature. Alors je prends des livres et je vais dehors, il existe tellement d'endroit magnifique... Vraiment, c'est le paradis.
Je parle peu avec les autres, je communique peu avec les autres sauf peut-être un peu avec Razette. Elle au moins elle est gentille ! Je n'aime pas parler vraiment, je sais pas, c'est ainsi, une sorte de peur stupide, une peur incontrôlée de se confier aux autres. Alors peu de gens me connaissent vraiment, même si j'aimerai bien être entourée et rire, sourire comme autrefois, comme la petite fille que je suis encore.
▬ Physical ;;
A présent je vais vous parler de la personne que je suis à l'extérieur, la personne que vous risquez de rencontrer. Soyez attentifs car cela vous permettra peut-être de me reconnaître.
Je suis une jeune fille d'une quinzaine d'années qui mesure environ un mètre cinquante trois. Je tiens aux derniers centimètre parce que comparée à la plupart des gens, je me trouve petite. C'est un peu comme si j'étais restée une enfant, autant moralement que physiquement. Une toute petite fille, aux cheveux noirs, longs ou plutôt mi-longs. Des cheveux dont je suis assez fière, ils sont beaux et je me sens bien seulement lorsqu'ils sont longs et détachés. Pourquoi ? Je pourrais vous énoncer beaucoup de théories plus farfelues les unes que les autres mais je dois dire que la plus réaliste est moins drôle. Je me sens plus en confiance lorsqu'ils sont longs, mais je ne gagne pas qu'en assurance. Non, je gagne aussi en liberté pouvant laisser mes cheveux aux vent et ainsi sentir sa morsure. La morsure, la marque de la liberté.
Je possède des yeux de couleur mauve virant parfois au bleu foncé. Je pense qu'il s'agit de la teinte qu'ils peuvent prendre suivant la luminosité. En tout cas pour moi, cela importe peu car je ne peux pas les voir quand je le souhaite, alors, ce n'est pas bien grave. Sinon, il paraît qu'ils sont assez fascinant. Moi aussi je regarde beaucoup les yeux des autres, chacun ont une forme et une couleur différentes, mais ils sont tous aussi beaux les uns que les autres. Je suis tout simplement dans la moyenne des gens avec des yeux sortant du lot si je puis dire.
Pour moi sortir du lot n'est pas vraiment quelque chose que j'apprécie, j'aime passer inaperçue, ne pas être vue sans pour autant me cacher. C'est pourquoi je porte des vêtements sobres, normaux, des habits passe-partout en quelque sorte. Bien que j'aime les couleurs, je ne me sens pas capable et digne d'en porter. Si j'arrive un jour à porter autre chose que du blanc, nous pourrons dire alors, que c'est une grande avancée, mais pour le moment, ce n'est pas encore gagné, je n'ai pas confiance en moi, je n'ai pas de raison particulière pour me sentir bien. Non, je vis, juste. Je vis, ou on pourrait presque dire je survis. Et tant que je n'aurais pas réussit à passer outre mes doutes et mes apprécions, tant que je n'aurai pas vraiment changée, je resterai comme je suis actuellement à l'extérieur.
Un combat intérieur qui, une fois une bataille, aussi petite soit-elle sera accomplie, gagnée, sera sans doute signifiée l'extérieur pour que tout le monde, y comprit moi puisse voir les progrès accomplis.
Autrement que puis-je vous dire d'autre ? Je n'ai pas de démarche particulière, je suis le fils de mes idées, en essayant de ne pas trop penser en chemin, du moins jusqu'à ma destination. J'ai souvent l'air ailleurs et pourtant j'arrive parfaitement à savoir ce qui m'entoure, bizarre, non ? Sinon, sur mon visage ce qui peut frapper est peut-être le fait que la plupart du temps, aucune expression n'y est peint. Je ne souris pas, mais ne fait pas pour autant la tête, je reste neutre, tout simplement, j'essaye de le rester le plus possible, une façon pour moi de me protéger, une habitude dont ne sait où. Et pourtant ! C'est une habitude sacrément difficile à perdre.
J'erre dans cette vie, jusqu'à ce que je puisse m'accepter telle que je suis, jusqu'à ce que je trouve la voie qui me convienne.
▬ Caractéristiques à retenir;;
Hanae n'est pas une fille facilement approchable, c'est une jeune fille timide, qui parle peu et ne sourit presque jamais. Elle porte autour de son cou la chaine que Myrem lui a donné en gage de sa parole.
Serez-vous lui redonner la joie de vivre? ~♥~
▬ Story ;;
I. Enfance La naissance d'une fleur
Hanae est née d'un père et d'une mère, ce qui est quelque chose de tout à fait naturel. Rien de spécial, juste une grossesse comme les autres pour un enfant voulut. Ses parents étaient des personnes simples, douces et gentilles. Ils avaient le cœur sur la main, toujours prêts à aider les autres dans la possibilité de leur moyens. En effet, ils n'étaient pas très riche, mais cela suffisait à subvenir aux besoins de la famille et même un peu plus.
Pour eux, leur petit trésor était leur enfant, cette toute petite fille au sourire magnifique et aux grands yeux violets. Elle était si jolie et ils aimaient tellement les plantes qu'ils l'appelèrent Hanae, signifiant « la fleur bénie des dieux ». Un joli nom pour une jolie et gentille jeune fille. Etant petite elle n'était pas très dégourdie, toujours en train de tomber, pour un rien d'ailleurs, sans une raison précise, un peu comme si elle ne pouvait s'empêcher de trébucher. Peut-être était-elle un petit peu trop dans la lune ? Qui sait ? Elle était toujours intéressée par tout, aimant toujours tout savoir, curieuse de nature et posant toujours une seule et même question : « Pourquoi ? », à croire qu'elle n'avait que ce mot là à la bouche. Cette période dura très très longtemps au grand désespoir des proches et amis, qui commençaient à se demander quand elle arrêterait d'être aussi curieuse sur tout. Même si au fil du temps cela s'atténua, elle garda son esprit critique et son envie de tout savoir sur le monde, de le découvrir dans les moindres détails.
Elle grandit heureuse, avec son père et sa mère, ils étaient bien tous ensemble. Vivant de leur exploitation de fruits et légumes mais aussi de la vente de fleurs et de colliers en perles que sa mère faisait. Rien de spécial, ils éduquaient leur enfant pour qu'elle soit heureuse mais aussi et surtout de chose à ce qu'elle reste dans le respect des autres et de la nature. Voulant qu'elle soit une belle et grande fille au grand cœur sachant tout de même dire non, histoire qu'elle ne soit pas prise pour une imbécile par la suite.
Avec son sourire et sa bonne humeur, elle mettait en joie tous ceux qu'elle rencontrait. D'une certaine façon elle souhaitait que tout le monde soit heureux et puisse se sentir bien ne serait-ce qu'un instant. Qu'ils puissent sourire, rire pleinement sans se soucier de leur rang dans la société, sans se soucier de ses problèmes. Tout monde a le droit à un petit morceau de liberté, à un morceau de vie propre.
Hanae grandit, plutôt rapidement au niveau psychologique. En effet elle était plutôt avancée sur son âge à force de vouloir tout savoir sur tout. Elle savait lire et écrire très tôt et adorait raconter des histoires aux plus petits enfants. Notre jeune héroïne voulait devenir institutrice. Pourquoi ? Eh bien parce qu'elle adorait les enfants, qui eux-mêmes l'aimaient beaucoup, elle aimait aussi apprendre et renseigner les uns et les autres. C'était pour elle quelque chose de tout naturel, et donc elle se destinait à cela.
Néanmoins il arrive que les rêves ne reste que des images impossible et hors de porté.
II. Parfois il suffit d'un rien pour tout faire basculer Rien ne sert de pleurer sur son passé, cela ne le fera pas revenir
Un jour où il faisait beau, Hanae était partie flâner comme à son habitude dans une bibliothèque puis elle était allée rendre une visite aux enfants du village. Cela était pour elle, quelque chose de tout à fait normal, elle n'avait rien fait de mal, mais lorsqu'elle rentra à la maison. Il n'y avait personne. Plus rien. Ni son père ni sa mère. Tous deux avaient comme disparu. Hanae un peu paniquée, décida d'attendre jusqu'au soir, avec une sorte de boule au ventre. Plus elle attendait plus elle sentait son cœur se déchirer.
Ces parents ne rentrèrent pas. Ils ne rentrèrent ni le soir, ni le lendemain, ni le sur-lendemain. Elle se posait une tonne de questions et personne n'était présent pour lui répondre. Elle se sentit alors seule, plus seule que jamais, et elle sombrât peu à peu dans les ténèbres. Hanae à l'âge de quinze ans, elle allait taper aux portes des voisins pour savoir s'ils avaient vus ses parents, s'ils les avaient vus partir. Après un long moment de questionnement et d'absence, elle sut que personne ne reviendrait malgré un petit éclat d'espoir dans son cœur. Elle fut si déboussolée qu'elle en oublia son nom de famille et une partie de son enfance. Ces moments étant bien cachés au fond d'elle, fermés à double tour, pour une raison x ou y, elle ne le sait pas elle-même. Seulement elle ne parvient pas à se souvenir.
Elle allait de déceptions en déceptions. Ne sachant plus trop quoi faire, elle partit en voyage. Elle partie pour essayer de trouver des réponses à ses questions. Elle rencontra différentes personnes dont une s'appelant Myrem. C'était un homme qu'elle rencontra dans la rue. Hanae essayait de vendre des objets pour une personne l'ayant embauchée au marché, lorsqu'elle fût subjuguée par le regard de Myrem. Elle ne le rechercha pas spécialement mais elle finit par tomber sur lui au coin d'une ruelle conduisant à une fontaine.
Il finit par lui adresser la parole au bout d'un moment assit à quelques mètres d'elle. Elle ne lui répondit pas dans un premier temps. Elle ne parlait déjà presque plus depuis que sa famille avait disparut. D'ailleurs son magnifique sourire avait lui aussi disparut en même temps que cet événement. M'enfin, revenons à leur rencontre. Il lui adressa le premier, la parole, lui demandant comment cela se faisait qu'une jeune fille se retrouve toute seule dans la ville à travailler, à vendre sans aucune émotion sur son visage.
Notre petite fleur ne réagit pas se repliant plutôt sur elle-même. Elle n'avait pas envie de lui parler, pas envie de se confier sur quoi que ce soit. Elle était blessée d'une blessure qui ne se referme pas, qui n'arrive pas à se cicatriser car il restait trop de questions en suspend.
Sans comprendre vraiment pourquoi il vint à côté d'Hanae et lui proposa quelque chose, il lui proposa de le suivre. Elle était seule, lui aussi, et il voulait lui montrer le monde. De cette manière, elle pourrait en apprendre plus sur le monde et peut-être sur la mystérieuse disparition de ses parents. Myrem entreprit d'apprendre à Hanae une façon de vivre sans pour autant oublier son passé. Il ne posa aucune question sur elle. Il voulait qu'elle lui parle d'elle-même et non qu'elle se sente obligée. Il lui apprit aussi à utiliser les Zaiphons, ces pouvoirs dépendant fortement des émotions de celui ou de celle qui les utilisent. Au début elle ne savait pas les utiliser, même si Myrem pensait qu'elle en été capable. Pour elle ce n'était que quelque chose de farfelu mais d'inédit, d’intéressant. Elle s'efforça d'utiliser les Zaiphons à l'aide de son professeur désormais particulier qui se demandait vraiment s'il avait fait le bon choix. Non, je rigole, il savait qu'il l'avait fait mais il se demandait ce qu'il pouvait bien se passer dans le cœur de la jeune fille pour que son énergie soit aussi négative et en proie aux doutes.
Un jour alors qu'ils voyageaient tous les deux, ils furent pris en plein dans une bagarre entre l'armée et les citoyens. Ils disaient rechercher quelque chose que les citoyens ne connaissaient apparemment pas. La situation paraissant sur le point de dégénérer, Myrem s'interposa, et fini bien évidement blessé. Les personnes qui jouent aux héros finissent toujours par être blessé, c'est toujours ainsi avec les gentils. Il fut donc blessé par l'armée, assez grièvement pour mourir. Cela secoua fortement Hanae, qui se mis à ses côtés, les larmes aux yeux, puis elle essaya de le déplacer à l'écart de la foule. Elle lui demandait de lui dire quoi faire (elle lui parla, oui!), elle ne voulait pas perdre une autre personne chère à son cœur. C'est alors qu'en se concentrant elle put utiliser son Zaiphon. Il n'était pas offensif, non, celui-ci lui permit de soigner son maître de cœur. Pas tout à fait complètement, mais assez pour que sa vie ne soit plus en danger. Myrem alla se faire soigner dans l'église du coin, qui les aida volontiers. Des gens tout à fait sympathique. Hanae, le cœur confus, trouva en cet endroit un sentiment de paix. Elle se sentit mieux. Elle ne comprenait pas pourquoi, non, mais elle arrivait un peu mieux à organiser ses pensées, elle arrivait enfin à y voir un peu clair autour d'elle. Une façon de faire le tri, un endroit qui arrivait à lui faire du bien. Enfin.
Myrem fut reconnaissant envers Hanae qui elle fut tout simplement soulagée de ne pas perdre quelqu'un qui lui était cher même si elle ne le lui disait pas. Elle se pensa beaucoup de questions quant au pourquoi son Zaiphon avait marché à cet instant et pas au moment où elle l'avait voulu, mais aussi au pourquoi il avait prit cette couleur ou plutôt ces couleurs lumineuses. Pourquoi était-il ainsi alors que celui de Myrem était bleu et noir? Aucune idée, et d'ailleurs Myrem lui-même ne revint pas sur le sujet. Il lui proposa de partir de l'église pour aller dans un endroit qui pourrait lui plaire et où elle se sentirait sans doute le mieux du monde. C'est avec une grande curiosité qu'elle accepta. Elle n'était pas franchement sûre d'elle, mais elle commençait à lui faire confiance. Une année passée à ses côtés avait fait qu'elle se sentait plutôt bien en sa compagnie et qu'elle voulait rester avec lui. En fait elle ne s'était plus imaginé sans lui.
Myrem, les amenèrent jusqu'au 7ème district. Il l'emmena dans un endroit sacré. Elle fut éblouie par autant de couleurs, par autant de simplicité mais aussi elle fût surprise que les gens soient tous plus ou moins heureux, souriants, et gentils avec elle et les autres. Hanae se sentit le mieux dans les jardins, dans la bibliothèque mais aussi à l'intérieur de l'église, elle trouva curieux les statues que nous pouvions observer dans cette église aussi grande que magnifique. Elle avait un peu de mal, mais elle appréciait cet endroit, son atmosphère. Pourquoi ? Pas vraiment de raison, juste le fait de se sentir le mieux possible, tout simplement.
Hanae-chan voulait bien rester ici, elle se sentait bien, et pouvait faire ses recherches sur le monde et sur la disparition mystérieuse de ses parents. Elle pouvait aussi continuer sa vie au sein de l'église avec Myrem. Que demander de mieux ? Qu'il reste avec elle. Il décida de partir quelque temps, avant de revenir la chercher. Il lui avait promis mais elle, elle ne voulait pas le laisser. Il lui fit difficilement entendre raison, la laissant aux soins des sœurs et des évêques de ce lieu sacré. Il lui donna sa chaîne en argent portant un pendentif en forme de dague, surmontée d'ailes et entourée par deux serpents entrelacés. Il lui donna car il y tenait beaucoup comme à elle. Donc il irait forcément les récupérer dans un temps plus ou moins proche.
Elle le laissa partir, très difficilement certes, mais elle le fit, triste, un maux au cœur, mais ce n'était pas grave car elle savait que lui reviendrait. Donc elle décida de vivre à l'église, tout en continuant sa vie, en essayant de comprendre tout ce qu'il s'était passé auparavant mais aussi trouver sa propre voie. Son propre destin.
Ce qui s'est réellement passé:
III. On oubli seulement ce qui nous fait mal.
Il y a des mots, des images qui restent en mémoire mais dont nous ne sommes pas désireux de garder. Nous voulons les oublier car cela nous fait mal, mais pendant ce temps nous cherchons les pièces manquante d'un puzzle dont nous avons les clefs.
Hanae est effectivement allée, le jour du drame faisant basculer sa vie à la bibliothèque et au village, néanmoins lorsqu'elle est revenue chez elle, elle a retrouvé ses parents ou plutôt des êtres ressemblant à ses parents puisqu'ils étaient ailés. Des êtres ailés d'os, des êtres ne semblant plus être sa famille, lui demandant quelque chose qu'elle ne comprit pas. Elle partit alors à toute jambes pour trouver un endroit où se cacher mais aussi et surtout se réveiller. Car pour elle c'était tout simplement un cauchemar. Quelque chose qui n'aurai absolument pas avoir lieu d'être.
Elle se réfugia, dans un endroit sombre, sombre pour que cette chose ne puisse pas la retrouver et elle s'évanouit.
Elle ne se réveilla que quelques jours plus tard dans l'église du village et elle avait perdu une partie de sa mémoire. Son imagination reconstruisit alors la scène tragique, jusqu'à sembler plus vraie que nature. Pour ce qui est de ses parents, personne n'a rien vu et personne n'a remarqué qu'ils n'étaient plus là avant de retrouver Hanae seule, perdue dans le noir. Elle avait même oublié son nom de famille, c'est-à-dire ce qui la rattachait réellement à ses personnes, à ses parents transformé en Kors. ♠
Les ecclésiastiques la prirent en charge pendant un petit moment, le temps qu'elle retrouve un peu ses esprits et qu'elle décident de s'en aller. C'est après être partie qu'elle fit sa rencontre avec Myrem.
Voici la vérité. Néanmoins, toute vérité n'est pas bonne à raconter ~ ♠ ~
Invité Invité
Sujet: Re: Hanae, la fleur bénie des Cieux Jeu 27 Sep - 20:52
Tu es VALIDÉ(E)
Tu es désormais validé(e) ! Bienvenue dans la grande famille de 07-ghost ! Nous espérons que tu te plairas parmi nous. Si jamais il y a un souci, préviens un membre du staff par mp.
Tu as fait une très belle fiche Hanae ! Quelques fautes ici et là, mais ce sont surement des fautes inattention ^^ Bon rp parmi nous ma chère !
Maintenant, tu peux aller faire une demande de rp ICI. Créer ta fiche de lien par ici. Et n'oublie pas d'aller [recenser] ton avatar s'il ne fait pas parti du manga !
Hanae Kagami
♪ Âme Innocente ♪
Messages : 45 Date d'inscription : 24/09/2012 Age : 31 Localisation : Dans mes songes
Sujet: Re: Hanae, la fleur bénie des Cieux Ven 28 Sep - 3:51
*^* waouh ! Merci beaucoup Yume-chan =) Je suis trop contente ! <3