Melissa K. Alfer ❀ 100%

Pimbêche ❀ Oui, comme toute les filles, tu es une sorte de princesse se pensant supérieure à tout le monde. Que veux-tu, c'est dans ta nature de te sentir puissante, belle et tout ce qui va avec. On est une fille ou on ne l'est pas. Mais certes, à ce point là, ça devient assez grave. Après tout, tu commences vraiment à t'y croire un peu trop dans ton jeux de « Tais-toi je suis plus forte que toi. » ou bien dans les « De toute façon, mes ongles sont tellement beaux qu'ils ne casseront pas. ». Parce que oui, le monde se fiche un peu de tes ongles, de tes cheveux ou autres. Les manucures, ce n'est pas vraiment ton genre, si tu veux en faire, c'est uniquement parce que trouves que c'est pour les « bourges » et que cela pourrait-être intéressant de te faire passer pour eux, te fondre dans les décors pour les piller sans merci.
Violente ❀ Certes, tu n'es pas encore arrivée au point de frapper tout ce qui bouge, mais quand on te cherche, on ne perd pas beaucoup de temps pour te trouver. Tu n'hésites pas à montrer que tu sais te battre quand quelque chose ne te plaît pas. Une divergence d'opinion ? Tu l'acceptes sans pour autant menacer l'autre. Un discussion peut donc être établie. Hors, une insulte, un manque de respect ou bien même une tête qui ne te revient pas : tu n'hésites pas une seconde. Et le mieux dans tout ceci, c'est que les gens ne s'attendent absolument pas à te voir énervée. C'est tellement bon de surprendre ainsi les gens, les frapper quand ils s'y attendent le moins. Et ce qui est encore plus ironique là dedans, c'est que ton zaiphon n'est même celui d'attaque.
Ingénieuse ❀ Ce n'est pas parce que tu es une sorte de « chipie » que tu es bête pour autant. Au contraire. Tu essaies souvent de sortir de l'ordinaire avec tes plans, faisant en sorte qu'ils réussissent au maximum. Que veux-tu, c'est comme ça et pas autrement avec toi. Quoi, la porte est ouverte ? Et si tu grimpais le loin de la gouttière pour casser une fenêtre et entrer en te faisant courser par un chien ? C'est tellement plus amusant ainsi. Et puis bon, tu rêves parfois d'inventions assez spéciales qui, dès le lendemain, se voient être schématisé et parfois construite. Bon, pour l'instant, tu ne le caches pas, ce ne sont que des prototypes, et tu ne parviendras jamais à faire quoi que ce soit avec. Mais c'est un bon début.
Sincère ❀ Si il y a bien quelque chose dont on ne peut pas se plaindre chez toi, c'est bien ta sincérité. Tu as quelque chose à dire ? Tu le dis. Tu ne cherches pas plus loin. Vexante ? Oui, la plupart du temps, tu l'es. Mais au moins, on ne peut pas te traiter d'hypocrite parlant dans le dos des autres. Quand tu veux parler, tu parles. Rien ne t'en empêche, même si cela te mets dans une situation délicate. Que voulez-vous, on ne change pas les mauvaises habitudes que l'on prend dès la naissance. Et bon, tu dis toujours que la vérité ne mange pas de pain. C'est d'ailleurs pour cette raison que tu n'aimes pas les croyants, parce qu'ils mentent sur l'existence d'une personne au dessus de l'humain. Mais qu'importe, toi tu ne mentiras pas. Mais oublier de préciser certains détails ... Pourquoi pas ?
Colérique ❀ Tu es une fille, donc cette colère est normale. Tu veux quelque chose ? Tu feras ta petite crise pour l'avoir. Ou tu le voleras. Mais ce sont deux situations bien différentes. Et puis bon, en plus de ça, tu es rancunière. Cela te va bien. Il faut dire que ce rôle de gamine de quatorze qui n'est jamais contente te scie si bien à la peau. Qui plus est, tu t'énerves pour rien, chose qui assez comique à voir.
Possessive ❀ Quand tu tiens à quelque chose ou à quelqu'un, tu le montres, et bien. On remarque tout de suite que ce qui t'appartient n'appartient qu'à toi, et que tu n'es pas très partageuse. Regarde donc comment tu agis avec ton frère. Ce pauvre n'a pas vraiment d'espace pour respirer quand tu es là. Pourtant, c'est par amour que tu fais ça. Oui, tu l'aimes tellement que tu refuses quiconque ne l'approche.
Avaricieuse ❀ L'argent ... Qui n'aime pas l'argent ? En tout cas, toi, tu l'adores. Tu pourrais te marier avec d'ailleurs. Pourtant, tu ne le fais pas. Après tout, quand tu en as, tu te retiens pour ne pas le garder. Et Dieu sait que cela fait mal. Mais tu préfères l'offrir aux autres en te disant qu'ils l'utiliseront pour toi. Oui, comme ça, tu l'utilises sans pour autant l'utiliser. A tes yeux, ce fut la meilleure idée que tu n'as jamais eu. Après tout, tu t'es ainsi fait surnommer Robin Sky. Le Robin des bois du ciel.
Ambitieuse ❀ Quand tu as une idée, elle est souvent énorme. Pourtant, tu y crois. Et tu essais de la faire. Ton ambition est tel que jamais tu ne craquas dans l'idée de t’échapper de cette famille. Et puis, elle est sans limite. Tu n'hésites pas à faire quelque chose de dérangeant si il le faut. Après tout, tu n'es pas là pour jouer à la dinette, mais pour assoupir tes idées et tes désirs. Ta plus belle ambition réussie ? Devenir une justicière. Ta plus belle ambition ratée ? Sauver ton frère. Mais ça, pour l'instant, tu peux encore la changer. Ah la la, tu en es même intrépide de tout cela.
Déterminée ❀ Ce trait est étroitement lié à celui juste au dessus. Il montre juste que même si ton idée est assez spéciale, tu feras tout pour y arriver. Il n'y a donc pas grand chose à dire sur le fiat que tu sois une personne horriblement têtue là-dessus.
Fourbe ❀ Tu l'assumes, tu es fourbe. Tu oublis de dire certains détails, tu triches et tu l'assumes entièrement. Voir ces personnes se faire mener en bateau est si magnifique. Ils sont si bêtes et moutonnent comme ils peuvent. Cela donne parfois l'impression que le monde entier veut se faire manipuler de la sorte. Bien sûr, tu peux lui faire plaisir, après tout, cela t'emplit de joie.
Instinctive ❀ Parfois, tu ne prends pas le temps de réfléchir. Tu agis. C'est aussi simple que ça. Tu ne cherches pas loin, dans ta tête, c'est ça. Alors ça sera comme ça. Pas plus compliqué. Pourtant, parfois, il faudrait mieux que tu utilises ton cerveau plutôt que des mots qui peuvent écorchés. Mais ça, c'est ton problème.
Susceptible ❀ une fille, c'est toujours susceptible. Il ne faut pas lui dire qu'elle a prit du poids, il ne faut pas répondre que la robe ne lui va pas, ni que sa cuisine n'est pas bonne. Tout le monde le sait. Pourtant, toi, tu t'en fiches de ça. Tu es susceptible quand on te dit que tu ne sais rien faire, que tu n'arriveras jamais à sauver ton frère. C'est aussi simple que ça. Un sujet tabou. Voilà ce qui te sors de tes gongs.

On ne décrit pas un Homme avec des mots, on ne le décrit pas par sa façon de se présenter, ni par sa manière de parler. On ne peut qu'essayer de trouver à l'à peu près comment il est, et encore, cela n'a parfois rien de possible. Un être humain ne peut-être décrit à cent pour cent, on ne peut en faire qu'une rapide copie avant que tout ne change. Rien que les cheveux poussent à chaque instant ce qui les rendent indescriptibles en profondeurs et donnent ainsi de l’intérêt à la chose. On ne peut donc décrire quelqu'un uniquement en globalité sans pour autant être sûr au maximum de l'avoir décrit dans les moindres détails.

Toi, tu es un être humain et tu n'as aucune différence avec les autres au niveau de ces règles. Alors, on ne te décriras que brièvement à l'écrit, avec des mots qui semblent coller à notre façon de te voir, mais cette vision ne sera pas pour autant réelle au vue du nombre incalculable de changement que subit ton corps chaque jours et qui ne peuvent être visible quand ils ont lieu mais qui le sont pourtant quand ils s'accumulent.

De bas en haut, de haut en bas. Ce n'est pas l'ordre de la description qui compte mais plutôt son contenu, après tout, peu importe l'ordre dans le quel on le regarde, tu ressembleras toujours à toi même … Mais si l'on commence par en bas, on ne verra pas ton visage, on ne saura pas si tu as des pustules pleins la face ou bien si tu as de la morve au nez. Néanmoins, si l'on commence par le haut, on ne remarquera pas si tu es quelqu'un qui met des tongs avec des chaussettes hautes pour aller jouer à la pétanque en disant « Alors, tu tires ou tu pointes ? » avec un bon accent bien Frenchie.

Nous commencerons donc par le globale, comme ça, il n'y aura pas d'inégalité et on apercevra un peu des deux extrémités de ton corps ce qui nous permettra d'avoir une idée sur la chose sans pour autant avoir une préférence pour l'une des parties du corps dans la description qui va suivre.

Tu n'es ni trop grande, ni trop petite. Au niveau de la taille, c'est le milieu de ces deux choses. On ne peut pas te traiter de girafe ni d'Hobbit parce que c'est faux. Oui, un Hobbit mesure à peu près un mètre cinquante deux et une girafe … Il n'y a pas de mètre assez long pour la mesurer, à moins que tu ai subit une mutation génétique ou autres maladies infantiles tu ne peut pas faire aucune de ces deux tailles, lui, toi mesure un mètre soixante-deux sans talons ou semelles compensées et on peut utiliser des pouces pour te mesurer.

Et avec ceci ? Un total de cinquante kilogrammes est indiqué sur la balance quand tu montes dessus en te réveillant. Car certes, tu n'as beau pas beaucoup manger, tu ne fais pas non plus de sport hormis tes activités mafieuses et ne possèdes donc pas de « muscle à la Sangoku » mais plutôt des tablettes de chocolats Milka alliée à une poitrine féminine. Quant à ton ventre, tu n'as même pas de graisse quand tu te plis en quatre, ou du moins si tu en as tu ne l'as montre pas.

En gros, c'est toi. Une fille normale qui ne s'enquiquine pas avec des fixations sur sa taille ou son poids, qui se fiche si un jour elle devient obèse ou si elle rétrécit au lavage. Oui, c'est quelqu'un de tout à fait normal d'après ces premières informations. Tu le sais bien. C'est le global. Mais la globalité ne fait pas la normalité, ce ne sont pas des synonymes. Méfies-toi donc des apparences.

Tes mains, elles ont cinq doigts chacune. Aucune malformation de naissance ou autre, elles sont tout ce qu'il y a de plus normales. Une pomme proportionnelle à la taille de tes doigts y est bien présente, et tes ongles sont coupés et sans aucun vernis pour. Ils sont aussi tout fins. On dirait presque des doigts de fée mais ils sont un peu plus gros quand même, mais ça ne fait pas des boudins non plus. Et puis, tu arrives quand même à faire le « Longue vie et prospérité » de Spock avec, comme quoi tout est possible avec tes mains.

Tes bras, c'est du pareil au même. Que pourraient-ils avoir de spécial vu que tu ne t'es jamais tatoué ? Certes, une marque de naissance ou un reste de vaccin aurait put être présent, mais que nenni. Sachant que tu n'as pas non plus de « biscottes » tes bras sont tout aussi ordinaires que les autres parties de ton corps.

Tes jambes, c'est comme le reste : toujours « normal », toujours « banal ». Tu n'as rien de particulier et ne le cache pas foncièrement. En faite, pour l’instant, tu es le genre de personne banale type. Pas grosse, pas maigre, pas de muscle mais pas au point qu'on aperçoive tes os.

Tes pieds, c'est une pointure numéroté par trente neuf qui les couvrent. D'assez grands membres que voilà même si ils ne sont pas aussi grand que certains.

On fait le bas, puis le centre, et ensuite, que reste t-il ? Le haut. La tête, la nuque, tout. Ce n'est pas très compliqué à décrire ton visage malgré les nombreux détails que tu peux posséder.

Un visage totalement féminin de forme ovale se situe sur ta nuque – c'est pas comme si tu étais le cavalier sans tête aussi –, visage qui au passage est totalement recouvert d'une tignasse brune se situant sur le haut de ton crâne. Deux oreilles, un nez, deux yeux, une bouche, quoi de plus normale hormis ceci ?

D'ailleurs, en parlant de ta touffe, saches que tes cheveux ne partent pas n’importe comment ! Enfin, parfois si, mais on remarque rarement des mèches qui rebiquent dans son tas de poil. Ton rose part vers l'extérieur de ton visage, enfin celui qui n'est pas lissé, ce qui fait deux mèches sur le côté de ton visage. Sinon, tu as une frange, et pas une mèche, que l'on peut voir malgré ton chapeau.

Tes yeux ils sont de couleur ambres comme la pierre ! Et bien entendu, ce ne sont pas des lentilles qui permettent ceci. Oh ! Et c'est aussi la couleur que prend le ciel quand les nuages grondent.

Parlons désormais de ton nez. Certains sont trop grands, d'autres trop petit, des gros, des aplatis, des ronds des fourchus, il y a toute une liste de forme pour les nez. Le tiens, s'est le nez banal, celui qu'on voit un peu partout sur terre. Tu sais, le petit nez que tu ne trouves pas très jolie mais qui te va à ravir.

Sinon, il y a ton masque. Quand tu voles dans ce ciel, pas question de te faire découvrir. Alors voilà, tu mets des lentilles de contacts vertes et une perruque blonde. Ni plus ni moins. Il est toujours utile de se cacher de l'adversaire.

Tu te considères comme étant le « Robin des bois » des temps nouveaux. La foret n'est pas autant présente que le ciel, alors à tes yeux, il est plus logique de voler en hauteur plutôt que sur terre.
Tu fumes. Un peu trop. D'ailleurs, ça te revient de plus en plus cher.
Tu ne supportes pas l'église. Bon sang, que tu rêves de brûler ce lieu horrible après avoir pillé sans remord cette battisse.

Ton histoire fait partie des histoires inconnus de ce monde. Quelques phases de vie dont nul ne se doute. Ce n'est pas grand chose, pourtant, elles te définissent. En réalité, sans elle, tu serais sûrement quelqu'un comme les autres. Soit croyante et none, soit pauvre citoyenne, voir membre de l'armée. Alors si on te dit qu'une histoire est inutile, tu répondras automatiquement que la présence de l'autre l'est aussi. N'est-ce pas la vérité ? Tu n'en as jamais douté.

Ton histoire, elle commence il y a dix huit ans. Tu avais une sœur et un frère. Tout les deux plus grands que toi. La petite dernière d'une famille maudite selon les croyances du peuple. Les Borgia. Tes parents ? Que diable, les mariages arrangés avaient encore frappé, et tout cela dans l'unique but de faire survivre encore un peu plus longtemps la lignée. Alors ta mère avait donné au monde trois enfants. Lucrezia. La belle et tendre Lucrezia que le monde avait pourvu d'une sympathie hors normes. Et Slender. Ton frère, pauvre frère qui n'avait aucun avenir. Ou un trop grand. Tu ne l'avais pas connu bien longtemps avant qu'il ne soit vendu à l'église. Certes, il te restait Lucrezia. Et bien non, elle aussi était partie bien avant. Tu ne te souviens même plus de son visage. Famille, famille. Il ne restait plus que tes géniteurs, les servants, et toi.

Le monde qu'avait connu ton frère et ta sœur, tu ne l'as jamais vu. Pour toi, c'était toujours la même chose. Tu étais seule. Encore. Et cela ne changerait jamais.

Tes premières années, tu les vécus seule, entouré de domestique. Sans que tes parents ne prêtent un regard sur toi. Tu t'en fichais. Ta vie était dans ton petit monde. Un monde qui n'avait aucune limite. Aussi bien le ciel que la terre. Mais ça, peu de gens l'avaient compris. Ils te pensaient seule, sans rêve. Alors parfois, ils t’emmenait voir le frère que l'on t'avait arraché. Ta haine contre l'église commençait.

Les serviteurs n'ont jamais compris d'où venait ton envie de sauter de partout. Tu sautais depuis la rambarde de l'escalier, de la voiture, de caisse, de table. De partout. Et ceci te procurait un sentiment de bonheur absolu. Le vol. Tu aimais voler. Tu avais toujours aimé. C'était quelque chose qui t'avait toujours appelé. Toujours. Alors tu ne te faisais pas prier pour aller voir les célèbres courses de ta ville. Car oui, tu vivais dans un endroit un magnifique. Les îles volantes. F-13.

Tu connaissais beaucoup de gens. Ceci dû à tes fuites régulières de ta demeure. Les habitants jouaient le jeu eux aussi. Ils savaient très bien que tu n'avais pas le droit, mais ils te comprenaient si bien. Surtout lui. Lui, qui c'est ? C'était un camarade hors normes que tu avais rencontré lorsque tu étais âgé de treize ans. Il en avait quinze. Et déjà, à quinze ans, il avait ce que tu désirais le plus au monde. La liberté.

Vous ne vous lâchiez plus. Jamais. Tes parents ne furent jamais au courant de cette relation idyllique que tu entretenais avec lui. Non, vous n'étiez pas en couple. Vous étiez juste de très bons amis. Amis de toujours. Et ce qui était le plus magnifique dans tout ceci, c'était qu'il t'apprenait. Il te disait comment être libre. Le ciel. Il était si utile dans ces conditions.

En un ans tu avais appris à maitriser tout les transports volants que tu avais pu connaître. Et ceci, grâce à lui. Alors lorsqu'il te proposa de l'aider pour pilier un transport de l'église, tu n'hésitas pas un instant. Tu haïssais l'église. Surtout quand tu avais vu ce qu'ils avaient fait de ton frère.

Les jours passèrent, encore et encore. Tu t'améliorais toujours. Ou du moins, en avait l'impression.

Tu t'étais mise à fumer à quinze ans. L'odeur des cigarettes avaient un effet calmant sur toi. Et vu ce que tu étais devenue, tu en avais bien besoin. Après tout, tu étais devenu le centre d'attention de ta famille, et pour cause. Ils avaient prévus de te marier lors de ta majorité. Comme Lucrezia. Mais toi, tu ne te laisserais pas faire. Tu étais plus puissante qu'eux. Tu avais le ciel et des camarades de pirateries.

D'ailleurs, jamais tu n'abandonna tes compagnons. Quand ils avaient besoin de toi, tu trouvais toujours un moyen d'être là. C'était une façon de les remercier. Et tu les remercias ainsi pendant de longues années. Trois.

Pendant ces trois ans, tu n'avais rien fais de particulier. Vraiment; Tu avais vécu une vie normale sans aucun soucie. Pourtant, ce jour là, tu savais que tout allais changer. Tu le savais. Tu avais tout préparer. Ton moyen de transport, tes affaires : tout. On t'avait même trouvé un endroit où t'héberger. Un ancien skypirate qui avait dans la cinquantaine. Tu n'avais pas chercher à dire non. C'était si beau.

Alors cette nuit là, tu étais partie; Tu avais coupé tout les liens avec cette famille dont tu ne voulais point. Et comme une voleuse, tu avais disparu dans le ciel. Alors le lendemain, devant l'autel, tes parents furent bien embêtés. Mais toi, tu étais libre. Bien installé chez ce balafré.

Et tu fit enfin parler de toi. Tu avais changé de nom. Alfer tallais si bien. Et le Klender ? Tu l'avais gardé en un simple K.. Tu ne voulais pas que ton frère ai des ennuis à cause de toi. Après tout, tu ne pourrais pas le sauver de ces moines après. Néanmoins, cela ne t'empêcha pas pour autant de ne pas voler. Au contraire. Tu voyais parfois des affiches de recherche te concernant. Mais avec ton masque et ta perruque, nul ne te reconnaissais.

Alors voilà. Ta vie dans le district 7 avait commencé. Et tu avais bien un but dans cette vie en particulier. Prouver que ces Dieux n'existaient pas. Prouver qu'on pouvait te rendre ton frère.

Oh, mais n'as tu pas oublié quelque chose ? Bien sûr que si, mais c'est un secret que peu de gens savent. Mais tout ce que tu voles, tu le rends. Enfin, une bonne partie. Parce que oui, tu es Robin Sky. Mais ça, c'est quelque chose de bien gardé. ♥